Chapitre 72

Publié le par Charles

 

 

Arthur’ venait de se téléporter à Dubaï, Alberto’ D’Alino lui avait demandé de dire quelque chose à sa sœur. Le frère de Paméla’ voulait bien rendre service au gens et encore plus au membre de sa famille, mais il n’était pas vraiment content d’être pris comme laquais par le supérieur de sa sœur. Il ne lui devait rien après tout, pourquoi ce dernier l’appelait lui pour dire quelque chose à sa sœur, il pourrait envoyer quelqu’un d’autre. Surtout qu’elle lui avait donné sa lettre de démission…

Arthur’ qui pensait arriver dans un endroit austère sans technologie où tout aurait l’air triste, fut agréablement surpris lors de son arrivée, l’air pur qui s’y respirait et les visages réjouies des habitants étaient loin de l’image qu’il s’était fait de la ville.

Il arriva dans l’hôtel où se trouvait sa sœur, il demanda son numéro de chambre. La réceptionniste très souriante lui demanda d’attendre un moment et appela sa sœur dans sa chambre pour lui annoncer qu’un dénommé « Arthur Maier » souhaitait la voir. Ensuite la réceptionniste raccrocha et lui dit le numéro de chambre de sa sœur en lui indiquant les ascenseurs. Arthur’ entra dans les ascenseurs qui étaient comme tout ce qu’il y avait dans l’hôtel d’un luxe extrême. Un homme lui demanda à quel étage il voulait aller et appuya sur le bouton pour lui. Arthur’ descendit et alla à la chambre 512 où devait se trouver sa sœur. Il appuya sur la sonnerie qu’il y avait sur le mur à côté de la porte et la voix de sa sœur dit à la porte de s’ouvrir.

    Salut Arthur ! Vous êtes venu me voir ! Comme c’est gentil !

    En fait je suis venu seul.

    Ah oui ? Entre, lui dit-elle en l’invitant d’un mouvement de la main.

    Oui on m’a demandé de te dire quelque chose.

    Tu as vu un peu où je vis ?

    Oui, quel luxe, lui répondit son frère.

    Non pas seulement l’hôtel, la ville aussi est géniale !

    C’est beaucoup mieux que je ne le pensais, avoua son frère.

    Alors quel bon vent t’amène ?

    Tu te souviens des papiers que tu devais me donner ?

    Tu veux dire… ?

    Oui, ceux-là, dit Arthur’.

Alberto’ lui avait dit de parler à sa sœur de la manière la plus codée possible au cas où elle ait des micros dans sa chambre.

    Et bien, qu’ont-ils donc ?

    Je ne les ai toujours pas reçus, dit-il.

    Je t’avais prévenu, répondit sa sœur qui avait compris qu’il valait mieux parler de manière à ce que quelqu’un écoutant leur conversation ne puisse pas découvrir le pot aux roses.

    Oui mais on aimerait bien que tu nous en donnes au moins un.

    Je vais voir ce que je peux faire, dit Paméla’.

    Sinon j’aimerais bien que tu demandes à tes amis d’arrêter de me demander des nouvelles de toi, ils me fatiguent, lui dit son frère en sous-entendant Alberto’ D’Alino.

    D’accord, je leur en parlerais à l’occasion, répondit sa sœur qui avait saisi.

Publié dans Livre: Terre Bleue

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